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Bio

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Valérie DELAGE

Née en Auvergne, de racines occitanes, l'Isère devient rapidement mon camp de base : point de départ à l’exploration d’autres contrées, pour des raisons professionnelles et personnelles.

L’appel de la montagne, de la nature est très fort pour moi. La voir, la sentir, la savoir proche me rassure. J’ai besoin de savoir cette échappatoire et ce lieu de ressourcement, de reconnexion, à portée de mains, de pas.

Passionnée donc, je l’ai beaucoup parcourue, à pied, en raquettes ou en ski de randonnée. Dans mes rêves, je me voyais guide ou garde de parc naturel avec l’envie, le désir du partage et du compagnonnage.

 

Ma découverte de la photographie remonte au collège. Un photographe local était venu nous présenter l’art d’écrire avec la lumière. Cette rencontre m’a impressionnée dans tous les sens du terme. Depuis, je n’ai de cesse de vouloir imprimer les images sur ma rétine mais aussi de laisser ma trace, mon empreinte, mon regard et ma perception. Est-ce inconsciemment pour compenser ma propre déficience visuelle ?

J’ai longtemps tâtonné en photographie, souvent déçue par des développements machine qui n’avaient rien à voir avec les développements en laboratoire auxquels m’avait habituée mon père. C’est vraiment en 2013, qu’immobilisée à la suite d’un accident de ski, j’ai redonné une place plus importante à la photographie, en démarrant par la photo naturaliste.

 

La relation à la nature et au vivant, le respect que nous lui devons revêtent une grande importance à mes yeux. Membre d’une association naturaliste, pour mieux appréhender les espèces et leurs habitats j’ai également engagé un virage professionnel afin de mieux concilier mes convictions personnelles et professionnelles.

 

Exploratrice de la lumière, j'ai pour souhait, projets de :

  • Poursuivre ma progression, ma recherche en photographie naturaliste et de paysages;

  • Explorer, enfin, la photographie de voyages, de rue et la rencontre avec cette autre biodiversité que représente l’ Être Humain.

Frédéric
CARRON-CABARET
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Originaire du Nord Isère, je prends plaisir dès l’adolescence à arpenter ses collines pour observer et identifier les sommets de Chartreuse et, en arrière-plan, ceux de Belledonne. Ces montagnes m’attirent déjà.

Alors que je suis étudiant à Grenoble, je trouve au cours d’une randonnée dans le Vercors, un boitier Rollei. Particulièrement compact, il m’accompagnera pendant de nombreuses années en montagne. Il me permet de conserver des souvenirs.

 

Mais le rendu des photos est bien en deçà des instants magiques de levers de soleil sur les glaciers, ou sur des lacs, avec des ciels rougeoyants, des rencontres avec les chamois, les marmottes, les vautours fauves etc…

La mise en image de ces moments nécessite de changer d’équipement, au détriment de la compacité et du poids.

 

Aujourd’hui, la montagne reste une passion où j’aime retrouver le calme, la vue sur de grands espaces, et une diversité incroyable de milieux, qui favorise la richesse des espèces présentes. Seule la montagne permet de rencontrer une telle diversité au cours d’une journée. L’étagement alpin et l’influence des versants sur le climat en sont les principales raisons.

 

Je partage cette passion avec la photo qui constitue, pour moi, non seulement le moyen de figer ces rencontres avec la nature, mais également une stimulation intellectuelle. Ingénieur de formation, j’apprécie la technicité nécessaire à la maitrise de cette discipline.

 

Aimant toujours regarder au loin, je privilégie les grands espaces, les paysages avec des ciels riches en couleurs.

 

A présent, je rêve de ​concilier ces 2 passions. Malheureusement cela n’est pas toujours simple en raison du poids du matériel. Espérons que les progrès dans les hybrides soit une solution dans un avenir proche.

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